C’est à lire — “Ma marche vers la lumière”, avec Nadia
Dans la collection Témoignage, les éditions Viens et Vois proposent en librairie « Ma marche vers la lumière » ; découverte avec son autrice, Nadia.
À travers les 22 chapitres et les 176 pages du livre, nous sommes témoins, avec pudeur et suffisamment de précision, de son parcours de vie : d’une enfance volée par les violences psychologiques et sexuelles, d’une famille dysfonctionnelle aux organismes d’accueil, jusqu’à l’exil dans l’alcool, la drogue et même l’occultisme…
Avec beaucoup de recul, je me rends compte que j’ai eu une grâce importante de Dieu pour m’en sortir et d’avoir évolué dans le bon sens. Parce que je voulais plusieurs fois m’éteindre.
Page 147 il est écrit : « En faisant un […] point sur ma vie, je réalisai que de génération en génération la famille de mes deux parents reproduisait toujours les mêmes comportements (violence, alcool, inceste, adultère etc.). Je me suis demandé s’il n’y avait pas eu un sort jeté sur ma famille. ». Comment continuer à espérer face à ce qui semble être une fatalité ?
Dans tout ce que j’ai pu essayer pour trouver une solution, je n’en ai pas trouvé, mis à part une : ma rencontre avec le Christ, qui a révélé en moi son existence, qui change les vies, qui les transforme, qui amène au pardon et qui guérit.
D’un dieu affilié à la religion de ses parents biologiques, elle viendra finalement à rencontrer Dieu comme son Père créateur !
Parce que j’avais eu affaire à plusieurs religions, dont celle de ma famille. Je n’ai pas été délivrée de tout ce que j’ai pu avaler dès mon jeune âge. Et le pardon, pareil, je n’ai pas fait une expérience similaire à celle que j’ai faite quand j’ai rencontré Jésus. Je sais que c’est la solution pour l’humanité, j’en suis convaincue aujourd’hui. C’est gratuit, Jésus aime et il est prêt à changer les vies.
Finalement, elle trouvera l’amour et se mariera, et malgré son infertilité pour raison médicale, elle fondera sa propre famille dans une toute autre réalité ; un message encourageant à communiquer à celles et ceux qui seraient tentés de perdre espoir.
Dans l’impossible, il y a le possible. Je suis le possible, j’existe et je vous parle, je fais partie des vivants sur cette terre. Effectivement, de me marier et d’avoir trois enfants qui sont grands maintenant, et d’être grands-parents avec mon mari, ce n’est pas rien. Donc, je peux dire de ne pas perdre espoir et de regarder à Jésus qui nous aime profondément.
